Sans-debut-ni-fin

Une vie entourée d'animaux

Samedi 23 février 2013

D.S.: "Avec l'examen final, vous aurez the licence to kill. Mais ne devenez pas un Dr. boucher!"

Jeudi 21 février 2013

L'ours M13 a été abattu avant-hier dans le canton des Grisons en Suisse :(

L'ours M13 (masculin, le 13ieme ours) n'avait que 3 ans. Il amait se balader entre l'Italie, l'Autriche et la Suisse et il avait même survécu un accident avec un train régional. 
Seulement la cohabitation entre l'homme et M13 posait problème, il ne se laissait pas effrayer et retournait régulièrement vers la civilisation pour chercher quelque chose de mangeable: que ça soit du miel, des moutons ou même des pommes de terre en entrant dans une maison.

Je suis loin d'être un expert pour des animaux sauvages et malgré le fait que je comprends très bien la peur des personnes qui vivaient dans les villages où l'ours s'y rendait souvent, je ne suis pas d'accord avec le fait que cet ours ait été déclaré "ours problématique" et a pu par conséquence être abattu.
Pour moi c'est le manque de connaissance sur ces animaux sauvages et le désir de l'homme de possèder tout son environnement (se balader en forêt, y faire du vélo, skier dans les montagnes...) qui rend une cohabitation avec un ours impossible pour le moment.
Fallait-il vraiment le tuer, ne pouvait-on pas "simplement" le deplacer, l'emener dans un parc / zoo, vu qu'il était curieux et n'avait pas peur des hommes?
On veut sauver les ours et les reintroduire en Europe, mais on détruit toutes les chances en tuant les animaux et en provoquant encore plus de peur.

Je n'ai pas de réponse mais j'y suis à la recherche du comment rendre une cohabitation possible entre les hommes et ours/loups. Alors vos opinions m'interessent ;)




Samedi 16 février 2013

I.B.: " Il (le médicament) est très bien, il faut simplement convaincre le chat à l'avaler"

Mardi 12 février 2013

crime: animal en mauvais état
enquêteurs: vétérnaires, vétérinaire assistant(e)s, assistant(e)s vétérinaires
suspects: le monde entier (ben oui pendant qu'on y est: ça peut être une petite bacterie, l'os ou la pomme de terre avalé de travers ou même le soleil responsable d'un coup de chaleur => On cherche à toutes les échelles)
témoin: le propriétaire
et enfin la scène de crime, celle ce l'on étudie de près en esperant qu'elle nous dise quelque chose: eh oui c'est bien sûre l'animal en lui-même.

Voilà tous les ingrédients sont réunis pour un bon polar:

L'appel paniquée d'un témoin: il y a eu un crime!!! Les enquêteurs rencontrent la scène de crime (au moins la plupart du temps chez nous c'est la scène qui se déplace et non les enquêteurs :) ). Ils se font d'abord une vue globale, interrogent au même moment le/les témoin(s). Puis ils avancent dans leur recherchent vont en détail, recherchent les petits indices eparpillés à gauche et à droite. Ils font des analyses: des analysent biochimiques et microbiologiques. Puis il y a l'interrogatoire de certains suspects grâce aux radios, ultrasons, ....
Enfin si l'on a trouvé le suspect il faut encore l'arrêter: pour les plus coriances on a recours aux operations mais pour tous s'en suit le procès qui detérmine leur sanction: avec quel médicament ils seront combattu!!

Et encore un cas résolu par les experts


[À quand une série axée sur la médecine vétérinaire de ce point de vue? Le monde aime les films/romans policier, sinon il n'y en aura pas autant ]

Dimanche 10 février 2013

                   "Le client est roi"

Mais qui est le client chez nous, vétérinaires? L'animal ou le propriétaire?

Dans le monde de la consommation actuelle la définition ancrée dans les esprit: "Celui qui paye a tout les droits"

Dans notre cas, celui qui paye est le propriétaire, donc a-t-il vraiment tout les droits?

A-t-il le droit de nous reveiller la nuit juste pour prendre rendez-vous? A-t-il le droit de laisser suffrir son animal car il ne peut pas se résoudre à l'euthanasier? A-t-il le droit de nous demander des interventions inutiles juste car cela lui arrange?

Apparement oui, car ces situations sont très fréquentes.


D'un autre coté dans le codex veterinarius est écrit: In dubio pro animal !!! = En cas de doute pour l'animal.
On doit jouer les avocats des animaux et parler pour eux.

Dans la thérorie on nous apprend qu' en cas de dilemne, il faut toujours choisir le devoir négatif.

Il faudrait peut-être varier la phrase du début en:
=======>>>>  L'animal est roi !!! <<<<=======

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